Name
charlotte puertas
About
Vit et travaille à Paris
SUR LE VISAGE
Extrait de Ethique et infini d’Emmanuel Lévinas, 1982.
« Je pense plutôt que l'accès au visage est d'emblée éthique.
C'est lorsque vous voyez un nez, des yeux, un front, un menton, et que vous pouvez les décrire, que vous vous tournez vers autrui comme vers un objet.
La meilleure manière de rencontrer autrui, c'est de ne pas même remarquer la couleur de ses yeux. Quand on observe la couleur des yeux, on n'est pas en relation sociale avec autrui.
La relation avec le visage peut certes être dominée par la perception, mais ce qui est spécifiquement visage, c'est ce qui ne s'y réduit pas.
Il y a d'abord la droiture même du visage, son expression droite, sans défense.
La peau du visage est celle qui reste la plus nue, la plus dénuée.
La plus nue, bien que d'une nudité décente. La plus dénuée aussi : il y a dans le visage une pauvreté essentielle. La preuve en est qu'on essaie de masquer cette pauvreté en se donnant des poses, une contenance.
Le visage est exposé, menacé, comme nous invitant à un acte de violence.
En même temps le visage est ce qui nous interdit de tuer. (...)
Le visage est signification, et signification sans contexte.
Je veux dire qu'autrui, dans la rectitude de son visage, n'est pas un personnage dans un contexte.
(…)
Toi, c'est toi.
En ce sens, on peut dire que le visage n'est pas « vu ».
Il est ce qui ne peut devenir un contenu, que votre pensée embrasserait ; il est l'incontenable, il vous mène au-delà. C'est en cela que la signification du visage le fait sortir de l'être en tant que corrélatif d'un savoir.
Au contraire, la vision est recherche d'une adéquation ; elle est ce qui par excellence absorbe l'être.
Mais la relation au visage est d'emblée éthique.
Le visage est ce qu'on ne peut tuer, ou du moins dont le sens consiste à dire : « tu ne tueras point ».
NOTES ... Dialogue entre Patrice Pantin, Artiste et Charlotte Puertas, résumé.
L’altérité commence avec soi-même : je est un autre, je est multiple…
Nudité de l’autre qui se donne tout en restant une énigme.
Alors…
Peindre quoi ?
Peindre la peinture et peindre le temps dans une sorte de cavalcade introspective où le conscient et l’inconscient trottent ensemble sur le même cheval …
Peindre dans l’obscurité la nuit puis évaluer à la lumière blanche du néon de la cuisine les retouches à apporter…en une double vision.
Rituel matinal aussi : regarder l’aube puis se mettre à farder le présent avec du maquillage sur la peau, des pinceaux sur la toile, les doigts dessinant la couleur sur le papier en un état de transe.
Sorte de journal intime mais voué à être regardé, décrypté…
Miroir du quotidien, maquillage de la réalité comme une sorte de petit spectacle confidentiel qui se joue dans cette chair de la peinture, en un grimage à la fois secret et ostentatoire…
Poésie des maux qui se manifeste par la mélancolie et l’extase, en une certaine joie enfouie jaillissante de la pénombre et se transformant en allégresse au petit matin.
Question omniprésente du masque, du fard, donc de la peinture et des morceaux de peintures : visages, mains et pieds morcelés, le corps en morceaux, dans une tentative de retranscription d’une voix, d’une tessiture particulière, d’un grain de peau ou d’un grain de beauté.
Être soi-même un médium pour retranscrire des ressentis, des moments fugitifs aperçus et enregistrés au fin fond du cerveau. Déceler chez l’autre ce qui n’a pas de mot et qui est son essence même, le charme dans tous ses sens, cf. le grain de folie chez l’autre dont parle
Gilles Deleuze.
Multitude de tentatives de peindre l’être, vouées à l’échec, d’où un éternel recommencement à essayer de faire figure, de faire face.
« La peinture est un lièvre qu’on ne rattrape jamais » Jean Bazaine
Sursauts de la vie comme les bonds de ce lièvre…
Sursauts de la vie comme ces portraits de défunts, peints lorsqu’ils étaient vivants et les accompagnant dans la mort, ces portraits égypto-gréco-romains du Fayoum, frontaux et qui nous regardent encore aujourd’hui.
La série des ressuscités ne partent pas d’une page blanche mais de l’impression d’une peinture fantôme (trace photographique d’une peinture n’existant plus que sur mon téléphone) sur un papier collé sur un support en plastique ; et, à partir de cette trace je ressuscite une vision, celle-ci en amenant une nouvelle, comme on réécrirait sur un manuscrit…
Je cherche… je ne sais vraiment quoi mais je cherche quelque chose.
Pour commencer je peins des motifs symétriques : des papillons très souvent, de Robert le diable au flambé en passant par la petite tortue… je cherche à donner une forme tout en recherchant l’informe, la boue…
Puis couche après couche, dans la pensée particulière qu’est la peinture, en un palimpseste presque sans fin, je cherche à animer cet informe…
Animer : donner vie
Charlotte Puertas, Janvier 2022
TEXTE DE JEAN-FRANÇOIS DANON
"Charlotte Puertas : un secret bien gardé"
Choisir la récente aquarelle « Le secret » (2014) pour vous donner envie de découvrir le travail de Charlotte Puertas s’est imposé.
Intrigue du choix de la petite dimension , de l’aquarelle le plus souvent et de la gouache, de la transparence et du recouvrement, du choix de la série appartenant à des univers très différents – montagnes, bustes, défigurations ou au hasard des jours –
Intrigue entre le petit, la réduction et la force de l’expression comme si ce cadre imposé était choisi pour retenir l’explosion. Explosion des couleurs, désarticulation des compositions avec une femme qui pourrait perdre le lierre planté sur sa tête ou voir s’envoler sa perruque, une femme disparaître derrière la montagne, les trois volcans de la montagne se réveiller en même temps.
Le débordement était manifeste lors d’une récente exposition à Morlaix en 2015. La peinture sortait du cadre du tableau.
Intrigue pour le croisement de différentes pratiques : dessin, aquarelle, gouache, film d’animation, voix et plus récemment sculpture.
Mais où est-on avec Charlotte Puertas ?
A l’orée du bois, dans un conte de fées où l’ogre fait peur. Les fleurs sont souvent noires et venineuses ou encore sauvages, aigre doux. Les chats sont verts à double tête, les buridans à fleur et le loup n’est pas loin. On se retrouve en montagne, quelque fois rouge ou à cinq seins.
Qui vous regarde ? Des faces d’hommes ou des perroquets à face humaine ? Ou tout simplement l’esprit de la montagne ?
Qui entend-on ? La voix de Charlotte Puertas qui raconte des histoires. On traverse la ville. On court. Il fait nuit ; les manèges de la foire du Trône ne sont pas loin quand on se retrouve Place Saint Sulpice.
Un travail d’entrelacement de traits, de formes, de noir et de stries de couleurs ; un travail pour une Alice au pays des merveilles de 2016 qui aime pénétrer dans les bois, qui apprécie la compagnie d’amis étranges qui la prennent par la main pour parcourir les montagnes. Un travail qui cristallise les formes et les couleurs à l’exact moment qu’il ne faut ni anticiper ni dépasser. Un travail qui s’inscrit dans des références picturales gardées secrètes à ce stade.
Anne Dufourmantelle dans un livre intitulé « Défense du secret » paru en 2015 parcourt les différentes facettes du secret : « mon premier est un trésor, mon second est un poison, mon troisième est le propre des dieux… mon dixième est synonyme de liberté, mon treizième est garant de la vie » et aborde plus particulièrement le secret au regard de la puissance de la création. « Le secret est puissance » dit-elle. « C’est une force motrice dont on explique mal la créativité » poursuit-elle.
Il est grand temps que vous découvriez le travail de Charlotte Puertas.
Jean-François Danon, Décembre 2015
TEXTE DE LOUIS DOUCET
“Les fantômes de Charlotte Puertas”
Les photographes les désignent sous le nom d’images-fantômes, ces effets, voulus ou non, qui contaminent une image en y superposant une autre, généralement plus floue. Ils sont générés, le plus souvent, par des reflets lumineux latéraux accidentels sur le verre de l’objectif, lors de temps de pose prolongés. Certains photographes, cependant, les cultivent et les suscitent. Les œuvres de Charlotte Puertas, et plus singulièrement celles sur papier, sont peuplées de tels fantômes.
Dans sa série des Parrots, par exemple, un visage humain apparaît dans le corps de l’oiseau. Ailleurs, la forme d’une chouette arrachée à un collage de Max Ernst émerge d’une grappe de raisins, une silhouette voilée du corps d’une montagne, une chimère d’une lucarne éclairée ou encore, dans un onirisme proche de celui d’Odilon Redon, un monstre débonnaire, roux, doté d’un seul œil, derrière une tête endormie, sans bouche, près d’une couronne jetée au sol.
Rien, cependant, dans cet exercice, qui puisse l’apparenter à un jeu, comme ceux que l’on propose aux enfants quand il s’agit de retrouver, par exemple, des animaux cachés dans un dessin à l’apparence banal. Pas plus qu’aux tests de Rorschach.
La pratique de superpositions et de métamorphoses d’images s’enracine dans l’expérience vidéographique de Charlotte Puertas.
Ses très brèves vidéos, produites à partir de dessins ani¬més, en recourant à l’ancienne méthode des cal¬ques successifs, en témoignent : La passoire, Le temps, et Maison, 2006, La trouée, L’acrobate, Mon désespoir est rangé dans une boîte et Souffle, 2009… Leur efficacité visuelle s’appuie, bien entendu, sur le principe de la persistance de l’image rétinienne, mais aussi sur le souvenir des aspects successifs que prennent les formes qui se modifient rapidement sous nos yeux : l’amaryllis qui pousse, fleurit, se mue en tête humaine, puis en crâne avant de s’évanouir dans le néant ; le désespoir représenté par une figure tentaculaire noire, qui se transforme en une sorte de tache d’encre suintante, puis en boule compacte, avant de retrouver, sous la forme d’un ectoplasme, sa caisse d’origine … Le tout, chaque fois, en moins de vingt secondes.
Dans ses œuvres graphiques sur papier, les images ne se suivent pas dans le temps, mais se superposent sur la feuille, sans qu’il soit toujours possible de déterminer quelle est l’image principale et quels sont les fantômes qui la contaminent. Il s’y développe un incessant phénomène de dissolution de la figure, de métamorphoses, démultipliées en abîme, donnant naissance à des images-fantômes superposées, à l’instar du processus mémoriel ou du rêve.
On dirait que les personnages se désincarnent, se retranchent dans leur propre ombre, créant une ambiguïté qui provoque la remontée d’autres images, surgies du rêve, de l’inconscient. Ces images sont foisonnantes, intrusives, inquiétantes ou drôles, toujours fascinantes, parfois pétrifiantes comme le regard de la Gorgone. Elles élargissent la vision de la figure en une réflexion qui peut prendre des dimensions cosmiques ou, à l’opposé, réveiller des souvenirs, des rêves, des représentations intimes. Elles appartiennent alors tout autant à l’artiste qu’à l’observateur, alimentant une sorte de promenade mentale dans les reliques d’un monde hybride, mélange de réalité, de rêve et de fantasme, dont on ne peut déterminer ni la distance ni l’appartenance.
Les fantômes de Charlotte Puertas le sont aussi au sens que la scolastique médiévale donnait à ce terme : images produites dans le cerveau par l’impression des objets extérieurs. L’artiste nous livre, sur le papier, les dessins floutés d’objets arrachés à son histoire personnelle, à son intimité. Ce sont les fantômes de son passé, nostalgique et attendrissant, comme en témoigne sa vidéo autobiographique La vie dangereuse, mai 2010.
Devenus images, le spectateur s’en empare à son tour, les intègre et les transforme en nouveaux fantômes dérivant, ceux-ci, de sa propre expérience. Cette mise en abîme devient arborescente, luxuriante, envahissante, avec autant de nouvelles branches que de conditions d’observations. Les images de l’artiste se greffent sur celles du spectateur, se métissent pour créer des monstres, dans le sens primitif de ce mot : choses qui s’écartent des normes habituelles. On pense, au Cauchemar de Füssli, mais aussi à cette réversibilité du regard que Baudelaire évoque quand les forêts de symboles observent l’observateur.
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L’homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l’observent avec des regards familiers.
Le processus est celui d’une introspection, d’une plongée vertigineuse dans l’intime, qui, comme un cyclone, entraîne, dans son tourbillon, simultanément l’artiste et le regardeur.
Mais peut-être faut-il voir aussi, dans ces manifestations, comme un cri de détresse, de protestation désespérée contre la solitude, contre cette part impénétrable de notre individualité qui résiste à toute tentative d’extériorisation. Un désir de fiancer les rêves, comme Bachelard l’écrit avec tant de pertinence : « dans la solitude nocturne, vous voyez passer les mêmes fantômes. Comme la nuit s’agrandit quand les rêves se fiancent. »
Quand il n’y a plus de fantômes à partager, il ne reste que la désespérance et la solitude… Sans rêve…
Charlotte Puertas, elle, agrandit notre nuit, notre vie… Nous la remercions pour cette grâce, même si elle nous entraîne dans une tornade impétueuse dont on ne sort jamais complètement indemne…
Louis Doucet, mars 2013
Resume
Education
Diplôme de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
Beaux-Arts de Paris
FORMATION
2003
Diplôme de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris,
avec les félicitations du jury.
Atelier de Dominique Gauthier.
Jury : Maria De Corral, Eric Corne, Patrick Corillon, Agnès Thurnaueur.
RESIDENCES
Résidence “coup de pouce” à L’H du siège à Valenciennes d’Avril à Juillet 2013.
Résidence à “Pollen” à Monflanquin de Février à Mai 2010
Publication printemps 2017
Editions Cynorrhodon-FALDAC
“Le journal de la Shéhé”
turbulences et tremblements
collection dessin-poésie
Exhibitions
Chez Jean at Moments artistiques, Paris, France
Faces at Galerie du Haut Pavé, Paris, France
Amours at GalerieHéloise, 75013, Paris
Salon de la mort at Galerie Bertand Grimont, commissaire L.Quénéhen, Paris, France
Salo VII at Commissaire Laurent Quénéhen, Paris, France
Tout va très bien at Galerie Mansart, Paris, France
31/01/2019 au 24/02/2019
Commissaire Azad Asifovitch
La palma de Navidad y otras curiosidades at Galeria Dupressoir, Barcelona, Spain
Le bestiaire ou le cortège d’Orphée at Galeria Dupressoir, Barcelona, Spain
Du 9 novembre à fin décembre 2018
Exposition en hommage à Apollinaire
Summertime at Galeria Dupressoir, Barcelona, Spain
Exposition collective
Réalités étranges, du dehors au dedans at Galeria Dupressoir, Barcelona, Spain
Du 7 avril au 22 mai 2018
Les filles de Gaïa at Sunart galerie, Maison des Arts de la ville d’Avray
Commissaires Pauline Lisowski et Philippe Suner
Mac Paris at Mac Paris, Bastille, Paris
Du 14 au 19 novembre 2017
Douze mois de passion at Le point virgule, Annick et Louis Doucet, Langueux
“Fragile” at Galerie Mansart, Paris 75003
commissaires Azad Asifovitch et Jean-Luc Blanc
“kvartinik” at commissaire Azad Asifovitch, Paris, France
still moving at Galerie Vincenz Sala, Paris
Le 25 juillet, à l’occasion d’une soirée performative à la galerie Vincenz Sala, lecture de quatre de mes textes.
CorpssproC at Association “Fondation Christian & Yvonne Zervos”, Vézelay
Carte blanche à Annick & Louis Doucet Œuvres de la collection Cynorrhodon-FALDAC
Vivre avec... at Collection de Marie-Pierre Deloeil, Lille
Commissaire Bernard Lallemand
Herbaria at Carte blanche à Réjane Louin, galeriste, aux “Moyens du bord”, Morlaix
du 02/04/2015 au 24/05/2015, présentation d’oeuvres sur papier. Exposition avec Christine Crozat, Kacha Legrand et Régis Perray
Coop at Coop en partenariat avec Pollen, Bidart
projection de “la vie dangereuse” et présentation d’animations sonores
”Dessin(s)” at Collectionneurs Annick et Louis Doucet, Commanderie des templiers, St Quentin en Yvelines
présentation d’animations sonores
Exil at Les salaisons, commissaire Laurent Quénehen, Romainville
Projection de mon film “la vie dangereuse”
“Brèves rencontres” at Galerie MGE, commissaire Philippe Cyroulnik, Paris
présentation d’oeuvres sur papier
“Works on paper” at galerie uhn, Königstein, Allemagne
invitation de Frédérique Lucien at "la couleuvre", saint-ouen
présentation d’oeuvres sur papier, du film “la vie dangereuse” et animations sonores
"entre chien et loup" at Hôtel Elysées Mermoz, commissaire Olivier Breuil, Paris
Oeuvres sur papier, film et animations
“Dessins en mouvement”, Commissaire Philippe Cyroulnik at Le 19, Crac de Montbelliard, Montbelliard
projection du film “la vie dangereuse”
"tout à coup", texte de claude Cattelain présentant le film at H du siège, Pascal Pesez et Philippe Bétrancourt, Valenciennes
projection du film “la vie dangereuse”
“Confusion sentimentale”, commissaire Philippe Cyroulnik at Foire Expotrastiendas, Le 19 Hors les murs , Buenos Aires, Argentine
présentation de gouaches et aquarelles
soirée projections at "les salaisons", commissaire Laurent quénehen, Romainville
projection du film “la vie dangereuse”
“Pollen” artistes en résidence à Monflanquin at "Pollen", directeur Denis Driffort, Monflanquin
“La vie dangereuse” Dessins, installation et vidéo
« Ligne à ligne », Commissaire Michel Nuridsany at Galerie Nationale d’Indonésie, Jakarta, Indonésie
Exposition de Dessins
« Frémissements », Daniel Mézergues et Bernard Verdier at centre d’Art BBB, Forum de l’image, Toulouse
Présentation d’animations sonores
« Vidéo formes 3 », Commissaire Adrien Pasternak at Galerie 10m2, Sarajevo, Bosnia and Herzegovina
présentation d’animations sonores
« Le chant de la sirène », Commissaire Christophe Cuzin at La Générale, Sèvres
présentation de dessins
Jeune Création at La Bellevilloise, Paris
Dessins et animations sonores
«Vidéoisme # 7» at Mains d’œuvres, Saint Ouen
animations sonores
Festival des «très courts» at Festival des «très courts», Iasi, Sibiu, Cluj-Napoca, Bacau et Timisoara, Roumanie
Animations sonores
«Première vue» commissaire Michel Nuridsany at Passage de Retz, Paris
Oeuvres sur papier “arrondir les angles”
«Félicité» Commissaires Maria De Corral et Eric Corne at ENSBA, Paris
Exposition regroupant les diplômés des Beaux Arts de Paris avec les félicitations du jury.
Experience
interventions
milieu scolaire et milieu carcéral
INTERVENTIONS
2012
Sur une proposition de l’espace Camille Lambert à Juvisy en coordination avec le Spip, animation d’un atelier d’Arts plastiques pendant un mois (2 fois par semaine) à la maison d’arrêt pour hommes à Fleury Merogis avec réalisation d’une fresque collective.
Sur une proposition de Guillaume Garouste, animation d’un atelier d’Arts plastiques à “La source” à Louviers pendant 5 jours auprès d’enfants de 6 à 13 ans, avec réalisation de dessins, fresque, storyboards et flipbooks.
2011
Sur une proposition de l’espace Camille Lambert à Juvisy en coordination avec le Spip, projection de mon film “La vie dangereuse” et animations, suivi d’un débat avec un groupe de jeunes détenus à Fleury Mérogis
Réalisation d’une vidéo expérimentale “Toda ser neunen” par trois adolescentes avec mon accompagnement
2009
Atelier “dessin d’animation” : écriture, storyboard, dessins, montage, titre et son avec deux jeunes de 12 ans.